Dans nombre de pays où la langue majeure de scolarisation n’est pas une langue à forte diffusion et à production scientifique importante, mais aussi du fait de mobilités internationales et/ou des offres en ligne et à distance, une partie (parfois l’essentiel) des formations universitaires se déroule dans une langue autre. L’offre et la demande les plus visibles concernent l’anglais, mais aussi le français.